Selon une étude menée par l’institut Nielsen/NetRatings, 271 000 publicités électroniques ont été mises en ligne en Europe. les Allemands arrivent en tête de liste avec 23% des campagnes réalisées au niveau européen. Les Britanniques suivent en seconde position avec un score de 17%. Les Français arrivent juste derrière, avec 14% des e-publicités réalisées. Précisément, 8900 annonceurs sont à l’origine de plus de 38 600 campagnes. Donc, c’est un fait, la publicité en ligne se développe.
Mais de quelle manière ? Selon TNS MI, la puissance relationnelle du média internet s’exprime en 2007 autour de trois tendances d’expression : l’Intensité relationnelle (art-vertising), la Transparence relationnelle (alter-tising), et la Connivence relationnelle (agree-tising).
Dans le premier cas figurent les pubs très riches émotionnellement et créativement comme
Société Générale, Orangina, Sony et ses petits lapins, Happiness Factory de Coca Cola, Champion.
Dans le deuxième cas, c’est l’effet greenwashing qui prédomine. Marie (« Marie déteste l’excès de sel »), Danone (Les 2 vaches « tout le monde il est beau tout le monde il est bio »).
SAAB Bio Power OVNI Objet Vert Non Identifié…
Dans le dernier schéma, la marque met en scène les choix du consommateur : sélection d’un nouveau parfum de crème dessert (Danette Chocolat Blanc de Danone), innovation dans les services bancaires (Crédit Mutuel "Si j’étais banquier").
Mais plus de e-publicité signifie-t-il plus d’efficacité publicitaire ? Pour avoir la réponse, lire la prochaine news sur les résultats de la campagne IP Système U ;) et vlan, un petit coup de teasing.
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