Il peut créer sa propre page, son île, son univers.
Il peut placer ses propres avatars.
Il peut créer des opérations événementielles (Ex : les industriels du cinéma se servent de Gaia pour promouvoir leurs films).
Il peut proposer directement ses produits (Ex : dans Barbieworld, si vous achetez la barbie réelle, vous obtenez aussi une barbie virtuelle). Mattel va aussi y lancer prochainement un lecteur MP3, au son duquel la petite fille pourra faire danser sa poupée virtuelle. Les frontières entre le réel et le virtuel s’amenuisent. En conclusion, ces univers virtuels poursuivent trois objectifs : de divertissement, d’influence (donnent de la visibilité à un produit) et de commerce.
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