JR (Dallas) a ouvert la voie aux bad boys dans les fictions, qui tirent la couverture à eux. Ensuite, Tony Soprano (Les Soprano), Vic Mackey (The Shield) et Al Swearengen (Deadwood) se sont succédés. Dernièrement, ce fut Dexter, expert médico-légal et serial killer, Profit, un psychopathe, et le tout dernier, Dr House, un toubib drogué qui malmène ses patients et ses collègues. Des anti-héros, qui trouvent malgré tout la sympathie du téléspectateur qui lui trouve des circonstances atténuantes (problème existentiel, physique...). En clair, on aime les salauds, avec de grands yeux si possible ! Ce qui est encore plus vrai chez les femmes : plus ces héros sont cyniques, imprévisibles, inaccessibles, plus ils sont excitants. Un peu comme dans la vraie vie ? Et ils rendent ces femmes encore plus addict ! Ce qui explique le succès de ces fictions...
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