« Nous sommes en pleine apogée du phénomène Harry Potter : lorsque le site français d’Amazon a commencé à enregistrer les premières pré-commandes d’Harry Potter and The Deathly Hallows (Harry Potter et les reliques de la mort, 607 pages) en décembre 2006, nous savions qu’il se vendrait aussi bien que ses prédécesseurs. Nous ne nous attendions cependant pas à voir avec quelle facilité il surpasserait l’ancien record d’Amazon de 1.5 millions pour le Tome 6 ! Nous pensons même atteindre prochainement une augmentation de 50% par rapport au score des pré-commandes de l’avant-dernier tome. ». Ainsi s’exprime Xavier Garambois, dg d’Amazon.fr. Forte de cette pottermania, l’enseigne a alors mis en place un plan de sécurité très important et a également conçu, pour le fun, un compteur à moldus. Cet outil permet de suivre l’évolution du nombre de pré-commandes. On peut dire que le petit sorcier porte chance au distributeur qui annonce un chiffre d’affaires trimestriel groupe de 2 890M$, en croissance de 35%. Egalement, le libraire virtuel se posret bien en bourse grâce au magicien, à en juger l’indice Potter. Imaginé par le chroniqueur du magazine américain Money, Paul R. La Monica, cet indice fictif indique ainsi que les sociétés (dont Amazon), qui ont misé sur le jeune magicien, ont gagné en moyenne 10,50%.
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