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04 septembre 2007

Commentaires

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Babette Auvray-Pagnozzi

Ça a commencé par le glam-trash et le porno-chic. Depuis quelques années les marques « luxe » construisent leur stratégie autour des fantasmes.
Après avoir déshabillé cinq footballeurs italiens, recuperé l’imaginerie gay, utilisé la provoc religieuse, créé l’homme objet, utilisé le fétichisme, le sadomasochisme… Dolce et Gabbana continue à surfer sur la vague en déclinant sa stratégie de transgression et de provoc. Bien sûr, les photos sont splendides, les images fortes et à lire au deuxième dégrée . Et la cible ce n’est pas monsieur et madame tout le monde. Mais, mais, mais… Jusqu’où on peut aller trop loin ? Aujourd’hui le viol devient glamour, et demain, pourquoi pas la pédophilie ? Il existe des sensibilités culturelles différentes (En Italie et en Espagne la dernière pub a été interdite, en France est controversé)) et, sans être forcément puritain, il y a des limites à respecter. Et, paradoxalement, il y en a même qui commencent à être blasés. Et si la Marque partait sur autre chose ? Il est temps d’innover. Depuis qu’H&M a récupéré la tendance, le côté élitiste et innovateur du no-tabou commence à s’effriter.

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